Shéhérazade et Rosebud
Une femme, pendant mille et une nuit, raccommodait l’esprit d’un homme égaré par ses amours trahies, par ce sens déchiré sur le premier écueil d’autrui – la vie mal passée, la trahison d’amour, banale, essentielle. Travaux d’aiguille réitéré contre le décousu d’un esprit naufragé, ses voiles en lambeaux déchirées en ses propres tempêtes, à qui la trame toujours tentée d’un récit à clore promet l’équilibre au lendemain.
Publicités
hé… t’aurais pas recopié une bulle des Bidochons pour écrire un si beau texte… 😉
Merci Mr Loofy 🙂